Avec son histoire radicalement altérée par la réalité de la colonisation, les peuples indigènes brésiliens – terre qu’ils surnommaient de “Pindorama” – appartiennent à une population estimée entre 2 et 4 millions de personnes sur 1.000 etnies différents au moment de l’arrivée des Européens.

Aujourd’hui réduits à 255 personnes, parlant plus de 150 langues différentes, ils se battent pour la survie de leur culture et pour la survie pure et élémentaire à travers la vente de bois rares tiré de leurs lieux de vie et de la vente d’animaux sauvages, bien que les deux procédures soient interdites par la loi.

De manière plus “normalisée”, ils essaient également de survivre en vendant divers objets d’artisanat décoratifs ou utilitaires ou avec de petites “représentations” pour les touristes.